Quelle meilleure façon de partager les bénéfices de la sophrologie qu’en faisant témoigner une maman ! Elle a vécu l’avant, le pendant et l’après d’un accompagnement que j’ai fait à sa fille. Le mieux est de la laisser parler de son expérience.
Alma est maman d’une jeune femme de 20 ans, Veronica qui, depuis de nombreuses années souffre d’anxiété dans le cadre de ses études. Cela a commencé dès les « premiers grands rendez-vous » de troisième avec le Brevet des collèges, s’est installé en première avec les épreuves de français et en terminale avec le Bac. Cette angoisse a atteint son paroxysme maintenant en faculté.
Pouvez-vous me décrire l’histoire de Véronica et ce qui a déclenché cette démarche avec la sophrologie ? Dans quel état mental se trouvait-elle ?
Depuis le début du collège, Véronica a un profil anxieux. Année après année son inconfort s’est accentué. Elle s’est retrouvée dans des situations au niveau universitaire assez extrêmes : angoisse, anxiété, paralysie.
Il fallait vraiment trouver une solution
Nous avons eu différents épisodes au fil des années. Lorsque nous partions en week-end, elle déclenchait des crises d’angoisses, car elle se retrouvait seule. Vers 17/18 ans, elle avait des maux de têtes, des vomissements. Elle vivait également de moments de complète paralysie pendant 4 à 6 heures, sans pouvoir faire la moindre action, cela disparaissait rapidement.
Les crises se sont rapprochées avec les périodes d’examen (bac, partiels). L’anxiété prenait de plus en plus d’ampleur, au point d’être tétanisée par la procrastination. Impossible de travailler et de se préparer sereinement.
Concrètement, j’étais témoin de ses crises d’angoisse, je la voyais physiquement trembler, et perdre tous ses moyens, jusqu’à ce que les crises deviennent paralysantes pendant les examens. Elle n’arrivait pas à lire correctement les énoncés, ne tournait pas les pages, confondait les questions.
Il fallait trouver une solution à cette anxiété
Aviez-vous essayé d’autres méthodes avant la sophrologie ?
Nous avons tenté des méthodes légères comme l’ostéopathie, l’acupuncture, des méthodes purement corporelles, une approche plus énergétique du corps. Nous cherchions comment la détendre.
Elle a été suivie par une psychologue. Cela lui procurait une amélioration mais nous avions la sensation que cela ne suffisait vraiment pas.
C’est à ce moment que nous avons décidé de prendre contact avec vous Valérie.

Pouvez-vous me décrire Veronica au retour de sa première séance ?
C’était la première fois qu’elle avait cette réaction. « Elle est géniale Valérie ! ». Elle a été directement emballée par la façon dont vous pratiquez, cela sortait du cœur ! « C’est super, tu te rends compte, je suis un état de bien-être après une seule séance ! »
Cela étant, je n’ai pas eu besoin de la pousser pour venir aux rendez-vous suivants, elle n’en a pas loupé un, elle organisait elle-même ses rendez-vous avec vous, en toute autonomie.
Qu’est ce qui fait à votre avis que la sophrologie ait eu un impact supplémentaire et pérenne pour votre fille ?
Le « truc en plus » a été clairement exprimé par ma fille.
Elle m’a dit : « j’ai compris que je pouvais me détendre moi-même, grâce aux techniques de sophrologie, j’ai le moyen maintenant d’agir moi-même et j’ai la capacité d’obtenir ce résultat en autonomie. » Elle a expérimenté et compris que la sophrologie l’aidait à gérer ses crises d’angoisses, à être plus en confiance mais elle a surtout réalisé que cette méthode qui lui était acquise lui permettait de pouvoir activer quand elle en avait besoin les gestes, et réflexes adaptés.
Elle a conscience que si une crise de stress doit réapparaître, elle sait maintenant comment agir. « J’ai les outils et les moyens de gérer ! »
Avez-vous un exemple à me donner vécu récemment ?
Elle vient de terminer des partiels et c’est la première fois de ma vie que je l’entends me dire : « En vrai, cela s’est bien passé ! C’était la première fois, j’ai fait tout ce que je pouvais, tout ce que je voulais et maintenant j’attends mes notes sereinement ».
Cette phrase est importante car l’an dernier à la même période elle était tellement terrorisée de voir ses résultats qu’elle n’a pu les regarder que dix jours après, leur sortie ! Pendant dix jours l’angoisse l’a empêchée de regarder ses résultats ! Toute cette angoisse pour voir au bout de ces dix jours d’anxiété qu’elle avait réussi et validé !
Elle s’était créé une boucle d’angoisse destructrice.
La sophrologie lui a permis de sortir de cette boucle de stress d’anticipation
Ce que je ne vous ais pas dit, c’est que Véronica, après sa période de partiel, elle avait eu des anxiolytiques prescrits pour gérer ses crises paralysantes. Elle les prenait mais ne se sentais pas à l’aise avec l’idée de prendre des médicaments aussi forts. Elle les prenait pour aider à passer l’examen.
Pour ces derniers partiels, elle m’a dit : « J’ai senti que le stress était là mais là, je n’ai pas eu besoin d’utiliser les médicaments car j’avais d’autres outils, je ne me suis pas sentie dépendante, je suis maitre de ma vie »

Est-ce-que malgré tout elle a eu une perception de stress pendant cette période de partiels ?
Elle a eu le ressenti, la conscience de l’enjeu. Elle m’a dit : « Je suis un peu stressée mais pour une fois je garde le contrôle, je ne me sens pas noyée comme avant. Je sens mon stress mais je sais qu’il est normal car j’ai une échéance importante, mais je maitrise. Je sais que j’ai les outils et que je vais les utiliser. » Elle l’a dit à plusieurs reprises à des moments où elle était un peu plus stressée et fatiguée. « Je vais me faire un petit coup de sophrologie ! »
La grosse différence est que j’ai vu qu’elle a passé sa période de révisions d’une façon beaucoup plus impliquée, elle n’a pas été paralysée, elle a pu se préparer en toute possession de ses moyens, et le jour de l’examen, elle était sereine et j’ai vu ma fille fière d’elle !
Avez-vous remarqué une évolution de votre fille sur d’autres domaines que celui de ses études à la suite de son parcours de sophrologie ?
En fait c’est très subtil comme changement mais là elle est solide sur ses deux pieds.
Je le vois sur son attitude physique, elle a une posture beaucoup plus sure d’elle, plus ouverte, plus assurée. Elle a cet élan de positif qu’elle avait quand elle était plus jeune, elle est lumineuse.
Elle arrive à prendre plus de recul d’une manière générale.
En tant que maman je n’ai jamais été aussi apaisée ! Je ne l’ai jamais vue comme cela et elle a entamé le parcours avec vous il y a seulement deux mois !
Je suis Valérie ROIG-EYRAL, coach et sophrologue certifiée,
Stress, angoisses, préparations aux examens, confiance en soi, phobies, amélioration de la qualité du sommeil, autant de sujets sur lesquels la sophrologie vous aide à améliorer votre bien-être physique, mental et émotionnel.
On en parle quand vous voulez !